La nuit, entre une décharge et une voie ferrée.
 
Une caravane, un peu de lumière, un campement de forains.
 
Chacun passe le temps. Quand soudain, un train s’arrête, deux êtres descendent et la rencontre a lieu.
 
Le monde des « gens bien », roulant sur la voie droite d’une société qui file à toute allure,
freine dans ce nulle part peuplé de ceux qui restent au bord des rails ;
les rustres, les marginaux et tout de suite ça fait des étincelles, on est en plein cœur de l’humain,
dans ses désirs, son absurdité, sa férocité polie, cravatée ou animale et couverte de cambouis.
 
Les Forains, c’est l’histoire improbable de cette rencontre…
 
Un petit tour dans le manège de l’humanité, un petit tour pour voir, un petit tour pour rire…